Cour

*Banoque regarda autour de lui et quand il entendit se que la sirènes dit il eut un sourire et dit*

Je l'ai déjà dit, si je part d'ici et que je retourne chez moi, jamais personne ne sera capable de nous trouver, car vous serer surement mort avant de nous trouver.

Oui, il en n'a quelque uns, mais il serait dangereux pour vous d'y aller, et je ne pourrais pas vraint vous aider.

Mon peuple te turait et sa ne serait pas vraimet bon pour ton peuple.

Et j'ai oblier de dire que sur les rives des rivières il y a de gros mur de pierre.

Je peut vous dire que vous êtes chanceuse, car vous en ave de temps en temps, mais nous on n'en reçoie jamais. De toute façon, notre race est presque une légende. Rare son ceux qui nous on vu et qu'il n'ont pas péri.

Il se peut bien et si je déside de le faire vous ne serez même pas capable de m'arrêter.

Je commence à comprendre pourquoi vous êtes reine.

-Pourquoi? demanda-t-elle soupsoneuse.

Vous faite la baboune peut importe se qu'on vous dit pour qu'on finisse par s'excuser, mais sa marchera pas avec moi. Nous sommes un peuple fier et conter vous chanceuse si ma colère ne monte pas plus.

*Banoque regarda Maïya avec un sourire et dit*

J'aimerais bien voir sa.

-Ne faites pas esprès. dit-elle entre ses dents.

Quoi vous vouler pas le faire.

*Banoque se mit à rire et il la regarda partir.*

*Banoque reçu l'eau et par colère, il utilisa sa maîtrise de la pierre et se créa un bouclier de pierre qui le recouvrit complètement et d'une grand résistance. À l'intérieur de son bouclier, Banoque recracha l'eau et attendit.*