Au bord du lac

Maïya vit arriver la reine et son invité puis elle osa s'asseoir sur le bord de l'étang. Elle se fit une bulle d'eau permettant de respirer. Ele joua dans l'eau en attendant qu'ils daignent s'approcher, geste ne pouvant faire elle-même vu sa longue queue de dauphin. Elle mémorisa l'homme en question puis dit:

-Je n'ai pas vraiment eue à faire à vous Dame Moëra et je ne me souvient point que ce jeune homme est comter parmis les habitants de votre château. Il habite un monde sofistiquer je suppose. Vous n'avez qu'à regarder ses vêtements... Bref je me présente, reine Maïya du royaume des sirènes.

Elle sortit une petite pierre bleue.

-C'est un cadeau que les sirènes donne en signe d'appréciation.

Elle la tendit à Moëra mais insista à en donner une au soldat. Puis, elle versa une larme à la vue de cet homme portant tant de méchanceté eet la lui tendit quand même.

[color=plum]-Cette larme est puissante, elle guérit les blessures[color:7089=plum:7089].

Puis elle pencha la tête et la releva en signe d'approbation.

Maïya regarda l'homme et lui dit:

-Vous ne devriez pas la convoiter de cette manière Monsieur. Je serais prête à pleurer pour vous en offrir d'autre afin que se présent devienne insignifiant. Les larmes des sirènes...

Elle regarda le mauvais homme et lui dit:

-La première sirène à pleurer était fille d'une sirène homme et d'une merrienne. La goutte est donc envoûtante pour les homme autant notre voix peut l'être. Faites y attention et ne vous attacher pas trop.

Puis elle regarda le pauvre qui était assez avar.

Elle rit de bon coeur avant de lui avouer:

-Je sais le nom de tout ceux qui frôlent le continent, je l'entend par les vagues. Et il faut dire que vous n'avez pas la meilleures des réputations...

Puis elle rit de plus belle.

L'escorte de Vladimir avait remarqué des gens plus loin. Il ordonna donc de s'en approcher. Au début il avait crut que s'était des Russes qui s'étaient aventuré en dehors des territoires qu'il s'était appropriés, mais plus il approchait, plus il se rendait compte que ça ne pouvait être des citoyens de sa colonie. Une fois qu'il fut près d'eu, il ordonna à sa garde rapprochée de le suivre et au véhicule blindé de resté derrière avec les soldats d'infanterie. Tous voulaient savoir qui était ce nouveau peuple. Vladimir sortit donc de son jeep et s'avança vers les autres. Il remarqua qu'une femme présente ressemblait beaucoup à l’humain de l'époque médiéval et que l'autre était muni d'une queue de poisson. Décidément, ses surprises ne faisaient que commencer. Mais la plus grande qu'il eu, fut lorsqu'il aperçu avec eu un homme portant l'uniforme des dirigeants fasciste. Une foule de questions se mire à surgir dans sa tête. Ça prouvait donc que les nazis n'étaient pas anéantis... Il ne devait pas montrer sa rage et sa haine envers cet homme aux autres. Il se contatenta de lui lancé un regard noir. Il rapporta son attention sur les autres.

-Bonjour à vous gente dame. Je me nome Comrade Vladimir Gorbatchev et je découvre le continent au quel mes navires et mes avions ont échoué il y a de ça des années. Vous êtes un peuple nouveau pour les nôtres et nous serions intéressés à en découvrir d'avantage sur vous.

Il attendit de voir sa réaction, en fessant comme s’il n'y avait pas de nazi derrière lui, pour le moment...

Maïya remarqua un nouvel homme, attriquer de façon semblable à Von Dienim et sourit.

-C'est vous M.Vladimir? Je ne croyais pas vous rencontrer un jour!

Puis elle fit une courte révérence.

-Je me nomme Maïya, du royaume des sirènes. J'ai eu vent de votre adversion pour notre cher ami ici présent.

Elle lui montra Karl du doigt.

-Je suis vraiment très honorée de vous rencontrez.

Puis elle eut un sourire.

Vladimir écouta ce qu'elle avait à dire. Plus son récit avançait, plus il était surpris. S’il se fiait à ce qu'elle disait, elle connaissait déjà son nom, elle était une sirène et en plus elle était au courant pour le conflit entre son peuple, les Russes, et celui de Karl.

- C'est vrai, moi et Karl avons quelques différends toujours irrésolus...

Il ne lui adressa même pas un regard en disant cette courte phrase. Vladimir reprit en demandant:

-Désolé si je vous semble trop curieux, mais comment se peut-il que vous connaîcier mon nom. Nous n'avons jamais été rencontrés.

Elle rit de bon coeur.

-Les vagues mon ami, les vagues.

Puis, sont rire cristalin se fit entendre encore une fois.

-Vous laissez sans présent serait afffreux! Et... Vous semblez moins avare que le cher Von Dienim. Tenez, une larme qui guéris. Elle est bleue.

Elle se tourna vers eux tous et leur dit:

-N'accepter jamais une larme mauve d'une sirène. Et ne cotoyer jamais un merrien. Votre vie serais alors en danger.

Puis elle s'accouda et dit à Vladimir:

-Comment êtes-vous arriver ici?

Moëra prit la pierre bleue, la regarda et la mit dans la mit dans la petite poche de sa robe. Elle observait la sirène pendant qu'elle discutait avec Karl. Elle avait les yeux empli d'admiration pour ce peuple de l'eau. Elle en avait déjà croisé une sirène et cela l'émerveillait toujours.

Lorsqu'elle vit arrivé un nouveau, elle fut surprise. Deux représentants de l'autre univers des humains en une journée, cela l'étonnait. Elle se tourna vers le nouveau venu que la reine Maïya avait nommé Vladimir.

"Bienvenue en mon humble château Sir Vladimir. Je suis la Reine Moëra. " dit-elle en inclinant la tête en sa direction.

Vladimir prit le présent et le renga dans le fond fond de sa poche.

-D'accord, mais comment suis-je censé l'utilisé? demanda-t-il.

Entre temps, il se retourna vers Moëra.

-Bonjour ma reine. Je suis enchanté de faire votre connaissance. Si vous avez besoin de quoique se soit, n'ésité pas à faire appelle à mes service.

Vladimir était déterminé à donner une meilleure impression que ce Karl. Il soitait s'alliée du plus grand nomre de peuple possible, pour en temps et en lieu, renvercé le régime faciste qu'avait intoré ce nazi.

Il se tourna de nouveau vers la reine de sirène pour répondre à la question qu'elle lui avait posée.

- Je suis sur cette terre depuis près de 10 ans maintenant. Comrade Staline avait effectué un déploiement général de plus de plus d'un million de soldats et plusieurs millions de citoyens pour pouvoir étendre ses forces armées et en cas de chute, qu'une partie de l'URSS puisse survivre. Il avait également envoyé des technologies et infrastructure pour que l'on puisse s'établir et continuer d'évoluer. Il avait craint la chute de son pays suite à une forte attaque des nazis, dont notre ami Karl est le représentant ici on dirait bien.

Il lui lança un regard avant de continué:

-En effet, le pays d'origine de Karl est à l'origine de 2 guerres mondiales. C'est dans la deuxième que Staline à organisé le déployaient dont je sius responsable. Les nazis ont massacré plusieurs millions de personnes et on détruit des pays entiers. Je doute fort que votre ami vous en ait parlé...

Vladimir insista particulièment sur la dernière phrase. Il voulait que tous les habitants de cette nouvelle terre sachent à qui ils avaient affaire lorsqu'ils le verraient.

Karl venait de voir surgire un nouveau membre a cet assembler il fut totalement tetaniser par ses abis representant l'URSS... il mit la maint sur son revolvere les yeux getant des eclairs noir sur cet homme surgis de son epoque... il entendit se qu'il dit puis il vit ses soldat qui commencait a s'exiter a la vue des soldats qui restait en retrait...

-mich vor meinem Befehl anzugreifen _(n'attaquer pas avant mon ordre)

leur dit-ils...

-notre ami Vladimir semble oublier que cette guerre a été créer par notre Führer qui subissait la folie des grandeur... cepandant il se trouve que sa ne fait pas 10 ans que je me trouve ici et que le temps a beaucoup changer dans le monde que vous connaisser...

il rit legerement... il avait reprit son calme et jaugeait son adversaire diplomatique de facon plustot strategique... de toute facon les autre peuples ne se sentirait pas avare de s'allier avec Vladimire si celui-ci osait s'attaquer a lui de facon aussi... prompt...

-L'URSS est tombé... et notre Führer Hitler aussi... le partit Nazi n'en a jamaissoufert et nous sommes encore plus puissant qu'avant... Mais ne vous inquieter nulement...votre terre ne porte qu'un autre nom... et lui aussi se porte bien du fait qu'il n'y ait plus de communiste...

Il ricana legerement...

-car apres tout... die stärksten überleben_(seul les plus forts survivent)

hj: j'aimerait tout de meme que au moin une personne ne comprenne pas l'allement...svp...

La garde rapprochée de Vladimir se lacère devant leur chef pour être en mesure de le protégé en cas de bataille.

-C'est peut-être Hitler qui est à l'origine de cette guerre, mais aucun de vous ne s'est interposé dans son chemin. Ensemble vous auriez très bien pu l'arrêter dans ses idées de vengeance folle. Dit-il en gardant son calme.

Il fit signe aux autres soldats restés à l'écart de s'avancer pour pouvoir réagir si un incident venait à se produire.

Il écouta ce qu'il avait à dire et fut surpris de la chute de l'URSS. Il ne fit rien par être. Ce n'était ni l'endroit ni le moment.

- Le communisme ne s'est pas encore totalement effondré puisque je suis encore ici pour l'exercer. Des millions de personnes croit encore en le communisme.

Il observa Karl qui avait toujours la main sur son arme.

-Et dire qu'au début de cette guerre nos dux peuple était allié... Encore là, votre "Führer" a cru pouvoir écraser tout le monde. Aucun de vous ne lui a dit de s'arrêter. Vous avez tous apprêter sa trahison en vers l'union soviétique. Comment disait-il déjà? Ah! oui! Ça sera une guerre claire ! Malheureusement, c'est ce qui a mené à la fin du Nazisme... Vous est-il déjà arrivé d'imaginer l'histoire si l'URSS et l'Axe étaient restés du même côté? Tout aurait été si différent...

Maïya regarda la scène et comprit à quoi servait les armes modernes. Elle eut un peu peur qu'il y ai une bagarre avec ces armes dangereuses mais finalement, les deux hommes cessèrent les hostilitées. Elle sut aussi que les hommes derrière les deux représentants étaient aussi un danger. La jeune sirène soupira et leur dit:

-Messieurs, je peux croire vos hostilitées terminées pour quelques temps mais si une bagarre arrivait, vous pourriez nous blesser et bien que les larmes guérissent, je ne peux m'en servir.

Elle joua ensuite avec l'eau et leur dit:

-Nous sommes en rencontre et non en guerre, vousn'aurez donc ni besoin de vos armes, ni besoin de vos hommes.

Elle leva le bras et de gigantesques mains priprent tous les hommes et toutes les armes.

-Voilà qui est mieux!

Elle leur sourit.

Un sourire apparut sur les lèvres de Vladimir. Il commençait à penser qu'une attente avec Karl pourrait être favorable pour tous. Même pour les autres peuple de ce continent nouveau, car il n'aurait pas à sbire la guerre qu'ils pourraient peut-être mener. Si cela venait à arriver, ce serait peut-être la fin pour eux, car il était démuni de toute technologie et d'arme moderne. Même avec leur faculté magique il ne pourrait luté contre l'envahisseur...

- Je me nomme Vladimir Gorbatchev, Comrade de ce qu'il reste du communiste sur cette terre. Dit-il sans émotion apparente .

Lorsque la reine des sirènes, maïya fit volé tout les armes de ses soldats plus longs, il sentit une sorte de malaise monter en lui. Il n'aimait pas se retrouver sans défiance. Il se sentait... faible... Mais bon! il devait mettre toute les chance de son côté pour pouvoir s'alliée des autre royaumes.

-Vous possédez tous des pouvoirs comme ceux-ci? demanda-t-il en sortant sa pipe.

-Non. Cela dépend des personnes. Les sirènes ont un chant qui envoûte les hommes. La reine des sirènes, en l'occurence, moi, peut contrôler l'eau, à l'état liquide, solide ou gazeuse mais je ne vous en dirais pas plus.

Puis elle soupira et dit:

-Vous devriez quand même faire attention à se que vous pensez.

Puis elle sourit faiblement.

-Vous lisez mes passés également? dit-il étonné et choqué.

Vladimir se sentait un peu violé de cette révélation. Est-ce que ça devait dire qu'il devait faire attention à tout ce qu'il pensait lorsqu'il serait avec d'autres personnes ? pour lui, les pensés étaient personnel. Si on ne les dit pas, c'est parce l'on juge bon de les garder pour soit. Il regarda la reine un moment.

- Et vos pouvoirs, peut-on les apprendre où ils sont iné?

Il songeait à tout ce qu'il pourrait faire avec des pouvoirs de la sorte. Il aurait mis à genoux tous les autres peuples sur le continent 'où il venait. Il jeta vite cette idée de sa tête, se rappelant qu'elle pouvait y avoir accès.

Vladimir regarda la réaction de la sirène. Encore une fois, elle avait elle ces pensées. Ce pouvoir devait attirer plusieurs problèmes. Plus moyen de garder quelque chose pour soit. Il avait chassé cette pensée pour cette raison: il savait qu'elle allait mal y réagir.

Il poussa un soupir.

-Ne prenner pas ça de cette façon... De toute façon, ça n'aurait jamais fonctionné.

Il marqua une pose.

-Ça ne vous tanne pas de toujours savoir ce que les autres pensent ? Moi à votre place j'aurais l'impression de violer l'intimité d'un autre en permanence...

Elle se retourna et lui servis un regard froid.

-Je ne lis pas les pensées. Je les entends. C'est une vieille malédiction que les reines ont a endurer. Je sais tout sur tout sans le vouloir. Alors arrêté cela ou je vais vraiment me fâchée et ça ne sera pas beau à voir.

Elle lui envoya un jet d'eau à la figure sans remuer un muscle. Puis elle se retourna.

Vladimir se contenta d'hossé les épaule. Désidément il en avait beaucoup à apprendre sur les habitant qui peuplait ce continent nouveau.

-J'amerais bien vous invité cher moi un jour pour vous donner une idée de notre mode de vie. Sa vous dirait?

Elle soupira.

-Vous m'invitez après m'avoir provoquée? Quel manque de courtoisie flagrant!

Puis elle rit sarcastiquement.

Vladimir fit comme si elle n'avait rien dit.

-Alors, sa vous tente ou non? Lui demanda-t-il pour confirmé.

Il n'amait pas du tout que l'on rit de lui de cette façon.

Karl qui ecoutait cette conversation ria aux eclat dans sa barbe en voyant commen si debrouillait son confrere comuniste...

*pas etonnant qu'ils aient disparut...*

mais il fut tout de meme blesser lorsqu'il se fit traiter d'allemand avare...

-je vous ferait remarquer ma dame que se qui m'atire n'est pas l'appat du gain, mais plutot l'utiliter que cet accisition peut avoir... ne melanger pas tout je vous prit...

il rit un peu de bon coeur mais il ne mantait pas... il se foutait eperdument de cette pierre meme si elle etait belle... du moin il s'en fouterait si elle ne possedait pas d'aussi enorme pouvoir... mais il restait tout de meme que Karl n'aimait pas du tout cette sirene... a vrai dire il la trouvait tres peu respectueuse et elle avait un de ses manques de courtoisie incroyable qui aurait pu mener a l'échafau au temps de la Guestapo...

*Les gens ne savent plus qui leur sont superieur...*

hj: est-il obligatoire que je vous mentionne que mes penser sont formuler en allemand...