Au bord du lac

hj non ça va on s'en doute! Y'a seulement les anges qui peuvent comprendre tes pensées si ça te rassure.

hj: super je suis rassurer...

hj: Je t'aurais déjà fait des sarcasmes sinon, mais j'entends juste l'allemeand et je le parle pas

Maïya regarda sir Vladimir et lui répondit:

-Je viendrai si cela ne vous importune pas.

Puis elle se tourna vers Karl et lui dit avec un sourire:

-Bon, soit, si vous l'utiliser pour son utilité... Je vous dirai comment vous en servir. Il faut simplement l'enfoncer dans la plaie. Elle guérira dans les prochaine minutes. Il faut la laissez enfoncer jusqu'à ce qu'une lumière violette jaisse.

Puis elle se tourna une nouvelle fois vers Comrade Vladimir et lui dit:

-Désolée d'avoir rit de vous de cette manière... Vous voyez, personne ne m'a initié à la courtoisie et tout se qui va avec et je crains que je ne doive l'apprendre seule...

Elle soupira et inclina légèrement la tête vers Karl et lui dit:

-Mes excuses s'adressent aussi à vous, sir Von Dienim.

Puis elle jeta un regard aux trois et leur dit:

-Puis-je me racheter d'une quelconque manière?

Moëra écoutait la conversation entre la sirène et les deux hommes et elle se sentait exclue. Elle commencait à ressentir une hostilité dans l'air et cela la contrariait un peu. Elle décida de s'interposer.

"Messieurs et votre altesse, je ne veux pas trop vous importuner dans votre conversation à saveur diplomatique, mais je serais une bien piètre hôtesse si je ne vous demandais pas si vous aviez besoin de quelque chose..."

Moëra regarda Karl d'un drôle d'air.

"Vos armes, Messieurs, ne vous serviront à rien pour le moment. Car je ne tolèrerai aucune agression dans mon château."

Elle se tourna vers Maïya.

"Cependant, très chère amie, il serait préférable que vous rendiez à autrui ce qui lui appartient de droit."

- Je n'ai pas été très courtois envers vous non plus donc nous sommes quittes. Répondit-il à Maïya.

Il marqua une courte pause.

-Nous nous reparlerons plus tard pour cette visite, mais mon agenda n'est pas trop chargé ces temps-ci. Ajouta Vladimir

Il regarda Karl qui réclamait ses armes. Vladimir, quant à lui, ne vit pas l'utilité de vouloir ravoir les siens pour le moment. Maïya et Maëra ne semblaient pas hostiles et loin de là. Bien qu'il n'aimait pas se sentir sans défense il s'en passerait. Et puis, s'il en voyait la nécessité, il pourrait en faire venir d'autre grâce à son système radio.

- Non, je n'ai besoin de rien reine Moëra. Merci quand même.

-Moi non plus je n'est besoin de rien. Vous m'offrez une protection contre un danger et c'est largement suffisant.

Elle sourit et se tourna vers les deux hommes.

-Je peux vous rendre vos soldats mais pas vos armes, c'est trop dangereux.

Elle leva un bras et tous les hommes sortirent de l'eau de la même manière qu'ils y étaient entrer.

Karl regarda longement la reine des humains qui semblait particulierement pacifique...

*etrange... dans nos livres d'histoire ils disaient que les homme et femme du moyen-age etait tous des barbares... peut-etre vienne-t-ils comme nous d'une planete qu'il n'aurait aucun raport avec le moyen-age que nous connaisson... mais alors ca changerait toutes les données du probleme...*

iil vit ses hommes sortire de l'eau... il en fut estomaquer vu la force dont cette sirene fesait preuve... mais il s'efforca de na pas reagire... il remercia d'un hochement de tete la reine des sirene tout en gardant son regard dardé su ''l'humaine''...

*eh bien... je ne serais pas venu ici pour rien... avoir su qu'il y avait cette saleter de communiste j'aurait fait des sondages radio beaucoup plus tot...*

Maïya les regarda et voyant qu'elle n'avait plus rien à ajouter elle se courba et dit d'une voix claire:

-Je n'est plus rien à faire ici. Je reviendrai tout à l'heure. Aurevoir sirs Vladimir et Von Dienim. À bientôt Dame Moëra.

Puis elle plongea gracieusement dans l'eau et partit à toute vitesse, la queue ondulante la propulsant.

Voyant que Karl la regardait intensément, Moëra rougit légèrement. Elle décida de prendre la parole pour faire taire son petit malaise.

Elle se râcla doucement la gorge pour être capable de parler d'une voix assez forte et posée.

"Bon, désolée messieurs de ce petit incident avec mon homologue aquatique. Si vous voulez rester au château pour la nuit, vous êtes les bienvenus. Je peux faire préparer un repas digne de votre rang. Je peux aller sur le champs demander à mes serviteurs de préparer la salle à manger pour vous recevoir tous. Si vous le voulez, bien sûr."

Et elle continua de soutenir le regard de Karl.

Moëra ne savait pas lire les pensées des autres comme ses chevaliers ou comme ses homologue des autres peuples, mais elle apperçut néammoins le regard que Karl eu en direction du comrade.

"Parfait, je vais aller faire préparer les chambres pour vous et vos accompagnateurs soldats et je vais aller donner mes ordres pour le souper. Je vous retrouverai donc dans la salle à manger de la reine, c'est-à-dire, la mienne, elle eu un petit rire, dans quelques minutes."

Elle inclina la tête en direction de Karl et Vladimir.

"Vous pouvez vous promener librement dans le château jusqu'au repas et messieurs, soyez sage."

Elle quitta la cour pour entrer dans le château avec une démarche noble

Vladimir fit un sourire hypocrite à Karl avant de se dirigé vers l'imposante forterresse qui se ressait non loin. Il ne la connaissait pas mais les servantes pourraient le guidé.